Objet de la collection

Oeuvre : Précisions - 1998 17.39 Encart publicitaire Soframycine Apothicaireries hospitalières, 3 | Art & patrimoine pharmaceutique

Numéro d'inventaire : 
1998 17.39

Dénomination : 

Encart publicitaire

Titre : 

Soframycine

Apothicaireries hospitalières, 3

Domaine(s) DMF : 
Création / Exécution : 

exécution :
Laboratoires Roussel (commanditaire)
France, Ile-de-France, Paris (lieu d'exécution)
2e moitié 20e siècle
1974

exécution :
Sopel (éditeur)
2e moitié 20e siècle
1974

exécution :
Blin et Fils (imprimeur)
2e moitié 20e siècle

Date de création / exécution : 
2e moitié 20e siècle
Matières et techniques : 

papier (offset)

Mesures : 

H. 42 cm, l. 27 cm

Description cartel : 
Ce sont les Sœurs de Sainte-Marthe qui ont la charge de l'Hôpital et la propriété de l'Apothicairerie. La particularité du lieu réside dans la richesse du décor : sol pavé de dalles polychromes, boiseries à colonnettes torses et dorées (œuvre de deux menuisiers locaux Michel Fabre et Pierre Faudon), plafond peint… Cette richesse contraste avec la sobriété extérieure de l’Hôtel-Dieu. Le plafond peint a été redécouvert lors de la restauration en 1992. Il est composé d’un caisson central peint en trompe-l’œil dans lequel deux angelots dans les nuées portent des fleurs. Autour, l’artiste anonyme a réalisé un décor mêlant des sphinges et des masques sur fond d’entrelacs de fleurs et de fruits. Celui-ci avait été recouvert d’une toile peinte marouflée au XVIIIe siècle pour une raison inconnue. Sur celle-ci, la Charité, les vêtements flottants, est entourée d’angelots. L’un d’eux semble venir la nimber.

Expositions : 

Zoom sur l'apothicairerie/Ordre pharmaciens/2009
Apothicairerie hospitalière de l'Hôtel-Dieu de Tournus
Apothicaireries hospitalières, 3
Encart publicitaire offset Paris, 1974
Ed. Sopel. Imp. Blin et Fils
H. 42 cm - L. 27 cm
© Sanofi-aventis

La particularité du lieu réside dans la richesse du décor : sol pavé de dalles polychromes, boiseries à colonnettes torses et dorées (œuvre de deux menuisiers locaux Michel Fabre et Pierre Faudon), plafond peint… Cette richesse contraste avec la sobriété extérieure de l’Hôtel-Dieu.
Le plafond peint a été redécouvert lors de la restauration en 1992. Il est composé d’un caisson central peint en trompe-l’œil dans lequel deux angelots dans les nuées portent des fleurs. Autour, l’artiste anonyme a réalisé un décor mêlant des sphinges et des masques sur fond d’entrelacs de fleurs et de fruits. Celui-ci avait été recouvert d’une toile peinte marouflée au XVIIIe siècle pour une raison inconnue. Sur celle-ci, la Charité, les vêtements flottants, est entourée d’angelots. L’un d’eux semble venir la nimber.