Objet de la collection
Oeuvre : Précisions - 1998 17.56 Encart publicitaire Soframycine Apothicaireries hospitalières, 20 | Art & patrimoine pharmaceutique |





Encart publicitaire
Soframycine
Apothicaireries hospitalières, 20
exécution :
Laboratoires Roussel (commanditaire)
France, Ile-de-France, Paris (lieu d'exécution)
2e moitié 20e siècle
1975
exécution :
Sopel (éditeur)
2e moitié 20e siècle
1975
exécution :
Blin et Fils (imprimeur)
2e moitié 20e siècle
1975
papier (offset)
H. 27 cm, l. 42 cm
L’apothicairerie de Castelnaudary a sur ses étagères une belle collection de pots en porcelaine de style Empire mais surtout 119 albarelli et pots canon en faïence de Moustiers du XVIIIe siècle. Ces derniers proviennent pour la plupart de l’atelier des frères Ferrat. À décor vert, bleu, rouge ou polychrome, ils sont ornés de feuilles d’acanthe, de roses et de têtes de faunes.
Un autre objet remarquable est sans nul doute un mortier en bronze daté de 1622 et portant une inscription latine signifiant « Beaucoup de maux trouveront leur salut dans ce mortier sous la sauvegarde du sauveur ». Sur un tableau décoré d’un mortier et son pilon, d’un alambic, de flacons et de drogues figure une inscription latine extraite de L'Ecclésiastique (Si 38). Celle-ci peut être traduite comme suit : « C’est de Dieu que procède toute médecine. Le Très-Haut a créé, en les tirant du sol, les médicaments et le Sage ne les dédaignera pas. Il a donné aux hommes la science. L’apothicaire fabriquera des drogues qui apaisent et mettra au point des onguents qui guérissent ».
Zoom sur l'apothicairerie/Ordre pharmaciens/2009
Apothicairerie de l'hôpital de Castelnaudary
Apothicaireries hospitalières, 20
Encart publicitaire offset Paris, 1975
Ed. Sopel. Imp. Blin et Fils
H. 27 cm - L. 42 cm
© Sanofi-aventis
L’apothicairerie de Castelnaudary a sur ses étagères une belle collection de pots en porcelaine de style Empire mais surtout 119 albarelli et pots canon en faïence de Moustiers du XVIIIe siècle. Ces derniers proviennent pour la plupart de l’atelier des frères Ferrat. A décor vert, bleu, rouge ou polychrome, ils sont ornés de feuilles d’acanthe, de roses et de têtes de faunes.
Un autre objet remarquable est sans nul doute un mortier en bronze daté de 1622 et portant une inscription latine signifiant « Beaucoup de maux trouveront leur salut dans ce mortier sous la sauvegarde du sauveur ».
Sur un tableau décoré d’un mortier et son pilon, d’un alambic, de flacons et de drogues figure une inscription latine extraite de L'Ecclésiastique (Si 38). Celle-ci peut-être traduite comme suit : « C’est de Dieu que procède toute médecine. Le Très-Haut a créé, en les tirant du sol, les médicaments et le Sage ne les dédaignera pas. Il a donné aux hommes la science. L’apothicaire fabriquera des drogues qui apaisent et mettra au point des onguents qui guérissent ».