Objet de la collection
Oeuvre : Précisions - 1998 17.54 Encart publicitaire Crescendix Apothicaireries hospitalières, 18 | Art & patrimoine pharmaceutique |
Encart publicitaire
Crescendix
Apothicaireries hospitalières, 18
exécution :
Laboratoires Roussel (commanditaire)
France, Ile-de-France, Paris (lieu d'exécution)
2e moitié 20e siècle
1975
exécution :
Sopel (éditeur)
2e moitié 20e siècle
1975
exécution :
Blin et Fils (imprimeur)
2e moitié 20e siècle
1975
papier (offset)
H. 26,9 cm, l. 41,9 cm
Les boiseries en merisier et poirier sont contemporaines de la création de l’Hôtel-Dieu, achevé en 1764. Les vitrines, étagères, tiroirs, placards et meubles d’angle semi-circulaire sont harmonieusement agencés et caractéristiques du style Louis XV. Sur la table centrale, sont disposés une balance en cuivre du XVIIIe siècle, un trébuchet et deux gros mortiers, l’un en marbre et l’autre en bronze. Ce dernier est décoré de huit cariatides en relief. Outre la collection de faïence au décor bleu ou polychrome, 69 bouteilles en verre soufflé conservent les eaux et les élixirs dont « le vinaigre des 4 voleurs ». Ce remède doit son nom à quatre détrousseurs de cadavres durant une épidémie de peste en 1630. Mis aux arrêts, ils sont sommés de livrer le secret de leur résistance à la contagion : il s’agit d’un vinaigre de leur composition dont ils s’aspergeaient quotidiennement. Cet antiseptique fut inscrit au codex en 1748.
Zoom sur l'apothicairerie/Ordre pharmaciens/2009
Apothicairerie hospitalière de la maison de repos de Saint Lizier
Apothicaireries hospitalières, 18
Encart publicitaire offset Paris, 1975
Ed. Sopel. Imp. Blin et Fils
H. 26,9 cm - L. 41,9 cm
© Sanofi-aventis
Les boiseries en merisier et poirier sont contemporaines de la création de l’Hôtel-Dieu, achevé en 1764. Les vitrines, étagères, tiroirs, placards et meubles d’angle semi-circulaire sont harmonieusement agencés et caractéristiques du style Louis XV.
Sur la table centrale, sont disposés une balance en cuivre du XVIIIe siècle, un trébuchet et deux gros mortiers ; l’un en marbre et l’autre en bronze. Ce dernier est décoré de huit cariatides en relief.
Outre la collection de faïence au décor bleu ou polychrome, 69 bouteilles en verre soufflé conservent les eaux et les élixirs dont «le vinaigre des 4 voleurs». Ce remède doit son nom à quatre détrousseurs de cadavres durant une épidémie de peste en 1630. Mis aux arrêts, on les somme de livrer le secret de leur résistance à la contagion : il s’agit d’un vinaigre de leur composition dont ils s’aspergeaient quotidiennement. Cet antiseptique fut inscrit au codex en 1748.