Objet de la collection
Oeuvre : Précisions - 1998 17.49 Encart publicitaire Crescendix Apothicaireries hospitalières, 13 | Art & patrimoine pharmaceutique |
Encart publicitaire
Crescendix
Apothicaireries hospitalières, 13
exécution :
Laboratoires Roussel (commanditaire)
France, Ile-de-France, Paris (lieu d'exécution)
2e moitié 20e siècle
1975
exécution :
Sopel (éditeur)
2e moitié 20e siècle
1975
exécution :
Blin et Fils (imprimeur)
2e moitié 20e siècle
1975
papier (offset)
H. 27 cm, l. 42 cm
Conçue et décorée entre 1750 et 1763, l’apothicairerie de Carpentras se démarque par sa richesse décorative et la profusion des couleurs : sol aux motifs bleus et rouges, boiseries bleues et jaunes, panneaux peints. Un fronton couronne l’armoire centrale. Sur celui-ci, trois putti ramassent des plantes. Juste en dessous, une inscription latine, « herbis non verbis fiunt medicamina vitae » (« Ce sont les plantes et non les discours qui soignent »), met en valeur les ressources du règne végétal dans la confection des remèdes et le métier d’apothicaire. Douze panneaux peints décorent les placards. Huit d’entre eux, en camaïeu bleu, illustrent des scènes champêtres dans lesquelles on aperçoit promeneurs, pêcheurs, rivières, cascades, éléments d’architecture… Ils sont l’œuvre de Joseph Siffred Duplessis (1725-1802), peintre né à Carpentras. Sur les quatre autres, en ocre brun, des singes apothicaires procèdent à l’extraction d’une dent, l’administration du clystère, une saignée et la préparation des remèdes dans l’officine. Ces singeries sont attribuées à Alexis Peyrotte (1699-1769).
Zoom sur l'apothicairerie/Ordre pharmaciens/2009
Apothicairerie hospitalière de l'Hôtel-Dieu de Carpentras
Apothicaireries hospitalières, 13
Encart publicitaire offset Paris, 1975
Ed. Sopel. Imp. Blin et Fils
H. 27 cm - L. 42 cm
© Sanofi-aventis
Conçue et décorée entre 1750 et 1763, l’apothicairerie de Carpentras se démarque par sa richesse décorative et la profusion des couleurs : sol au motif bleu et rouge, boiseries bleues et jaunes, panneaux peints.
Un fronton couronne l’armoire centrale. Sur celui-ci, trois putti ramassent des plantes. Juste en dessous, une inscription latine « herbis non verbis fiunt medicamina vitae » (Ce sont les plantes et non les discours qui soignent) met en valeur les ressources du règne végétal dans la confection des remèdes et le métier d’apothicaire.
Douze panneaux peints décorent les placards. Huit d’entre eux, en camaïeu bleu, illustrent des scènes champêtres dans lesquelles on aperçoit promeneurs, pêcheurs, rivières, cascades, éléments d’architecture… Ils sont l’œuvre de Joseph Siffred Duplessis (1725-1802), peintre né à Carpentras.
Sur les quatre autres, en ocre brun, des singes apothicaires procèdent à l’extraction d’une dent, l’administration du clystère, une saignée et la préparation des remèdes dans l’officine. Ces singeries sont attribuées à Alexis Peyrotte (1699-1769).